Petite découverte sympa avec cette émission sur les Tortue Ninja, à voir !
Archive for Multimédia
Un bon reportage sur l’histoire des jeux video, passage obligatoire pour un geek comme moi !
Part 1 :
Part 2 !
Un rapport entre les côté sci fi de stargate et les vraies théories qui vont avec
Voilà longtemps que je n’ai pas pondu d’article sur un jeu… Mais voilà parmi la foule de jeu enthousiasmant que j’ai pu découvrir dernièrement, l’un d’entre eux sort vraiment du lot : j’ai nommé : Heavy Rain.
Plus qu’un jeu, c’est carrément une expérience que nous propose Quantic Dream (un studio français d’ailleurs pour faire mon chauvin).
Il y a le jeu vidéo, le cinéma et … heavy rain.
Au delà d’un jeu, Heavy rain a réussi à terminer une expérience qu’avait entamée Road Avenger en 1992 (d’ailleurs, je ferai peut-être un article là-dessus), à savoir, participer à un film interactif !
L’histoire est en somme classique, du moins pour un thriller :
Dans une petite ville des États-Unis, un tueur fait rage. À chaque automne, il enlève des enfants d’une dizaine d’années et on les retrouve 5 jours plus tard noyé dans de l’eau de pluie avec un origami dans une main et une fleur dans l’autre.
Le jeu s’articule autour du destin croisé de 4 personnages tous liés par « l’enquête » sur le tueur aux origamis.
Nous aurons donc l’occasion de contrôler tour à tour chacun des 4 personnages pour vivre le film, heu, le jeu de l’intérieur.
Ainsi, on contrôlera tour à tour, un père à la recherche de son fils (le dernier kidnappé), un agent du FBI qui enquête sur les meurtres, un détective privé qui chercher à démêler l’affaire et une journaliste qui se lie d’apathie avec le père.
Le gros plus du jeu est que l’ensemble des actions ont une incidence sur le déroulement du jeu et, qu’ainsi, il n’y a pas de gameover quoiqu’on fasse, seulement des fins de l’histoire différentes en fonction de nos choix.
Il est assez déstabilisant quelques fois de ne pouvoir échouer, mais, cela permet ainsi de ne pas avoir la moindre coupure et aussi de vivre intensément le jeu.
D’ailleurs pour l’anecdote, j’ai sursauté quelques fois tellement j’étais dedans !
Passons au gameplay, le jeu propose un gameplay assez inhabituel (le seul point pas totalement positif du jeu selon moi) : on dirige le personnage avec un bouton et son regard avec le stick analogique, ce n’est pas forcement évident et parfois déroutant.
En fonction du regard, l’écran propose des actions contextuelles qui peuvent aller du banal (se faire un café, aller au toilettes, se laver, etc.) à des choses plus importantes (chercher des preuves, ramper, etc.).
Gros point positif pour immerger encore plus le joueur dans les gestes, il s’agit de reproduire les mouvements à l’écran dans le bon timing :
Par exemple, faire un mouvement en douceur pour poser des assiettes, remuer la manette pour se sécher les épaules, faire des mouvements circulaires pour faire tourner les enfants, bref, un petit plus pour se mettre encore plus dedans.
Le jeu est compatible pour le PlayStation move, cela pourrait donner encore plus de réalisme (pourrait parce que je n’ai pas pu le tester)
Ajoutons à cela un graphisme totalement immersif et bien fait, d’ailleurs le visage des acteurs pendant les chargements est juste totalement saisissant et la possibilité d’avoir un grand nombre de fin (suivants les sites, on parle de 4 à 18, mais je n’ai pas encore tout fait) et, vous obtenez un jeu vidéo qui ne sera pas forcement le plus fun du monde mais qui est un véritable OVNI dans le milieu et un incontournable.
Voilà, je vous mets comme d’habitude une petite vidéo, mais vraiment pour tout ceux qui sont à la recherche de nouveauté et d’un bon moment, n’hésitez pas, c’est encore un de ses jeux qui peuvent vous marquer à vie par leur originalité.
Un petit article qui date d’avril dernier
Le jeu qui donne une raison d’acheter une PlayStation 3 !
Voici ce qu’on pourrait dire d’Uncharted 2 intitulé : « Among Thieves ».
Après un premier opus qui m’avait réconcilié avec le genre, les tomb raider et autres consort, le deuxième, véritable démonstration de talents de l’éditeur (Naugthy Dog) nous offre une immersion totale dans un jeu qui a tout du film interactif.
Revenons tout d’abord sur l’histoire, Nathan Drake, le supposé descendant de Francis Drake est embarqué par de vieille connaissance dans une quête pour retrouver les traces d’une expédition de Marco Polo et en particulier pour retrouver la pierre de Chintamani.
Après donc s’être penché sur la mythologie maya dans le premier opus, le héro se penche cette fois ci sur la mythologie bouddhiste.
Le jeu se vit en totale immersion tant la mise en scène est saisissante, ainsi, on a souvent l’impression de vivre un film plutôt que de jouer à un jeu ; d’ailleurs pour l’anecdote, un jour que j’y jouais avec du monde dans la pièce, une personne m’a demandé si je jouais ou si je regardais un film.
Le scénario est digne d’un grand film hollywoodien, les dialogues sont travaillés en profondeur et les personnages semblent plausibles avec des dialogues emprunt d’humour.
Nathan Drake n’a jamais été aussi authentique que ce soit dans l’animation, on dans les décisions prises.
Ajouté à cela, on a une bande son originale et totalement prenante ainsi que des décors tout simplement sublimes (que ce soit le fin fond d’une jungle ou les sommets de l’Himalaya)
Bref, beaucoup d’atouts qui font de ce jeu une référence du genre.
Toutefois, les aficionados pourront regretter une facilité déconcertante (les sauts sont pas mal guidés, les ennemis loin d’être immortel) qui furent pour moi un atout et permettent à ce jeu de toucher un grand public.
Bref, un jeu qui me fera peut-être acheter un jeu neuf sur la PlayStation 3 quand le numéro 3 sortira.
A tester !
et comme toujours, une petite vidéo :
Comment faire des articles sur les jeux vidéo sans faire une partie nostalgie !
Ceux qui me connaissent depuis ma tendre enfance savent que c’est quelque chose d’inconcevable tant les jeux vidéo ont bercé mon enfance.
En effet, pas de Maurin sur les terrains de sport jeune, mais plutôt passant des heures devants des ordinateurs et autres consoles vidéo (il y a d’ailleurs quelques anecdotes sympa sur des télés planquées dans la chambre lol)
Bref, pour commencer, j’ai choisi de me pencher sur un de ces jeux qui ont marqués une partie de mon enfance et que je serai toujours capable d’utiliser avec plaisir.
Voici donc un petit mot sur un jeu phare des années 90, à savoir le dénommé « Landstalker : Le trésor du roi Nole ».
Ryle, le héro, est un chasseur de trésor (pratique dans un jeu sur un trésor vous me direz) qui après avoir sauvé, au départ du jeu, une petite fée nommé Friday se rend sur l’île de Mercator à la recherche des fabuleux trésors du roi Nole.
La petite fée l’emmène directement sur le lieu où seraient les trésors et forcement, notre héro, se prends une tôlée pour se réveiller dans le fin fond de l’île dans un village d’ewoks.
Il faudra donc à notre héro sauver la moitié de l’île pour pouvoir finalement revenir dans ce fi… palais et récupérer le fameux trésor.
Le décor étant planté, qu’est-ce qui a fait de ce jeu une belle référence ?
Déjà, remettons les choses dans le contexte, le jeu sors en France en 1993 sur la console Sega « megadrive », j’ai du l’avoir en 1994, et, à cette époque, le must du genre, à savoir le A-Rpg était sur la plateforme concurrente : la super Nintendo. Il s’agissait du célèbre et génialissime Zelda 3 (d’ailleurs faudra que je pense à en faire un article)
Nous étions donc à la période des A-RPG vu de haut en 2D.
Et c’est dans ce contexte que Sega nous avait pondu un Rpg en « 3D ».
Eh oui, petite révolution de l’époque, le jeu était entièrement en 3D isométrique !
Bref, le jeu était une bonne source de nouveauté avec en plus, des dialogues emprunt d’humour (nouveauté pour l’époque quand on compare à Zelda 3 qui fait pauvre dans ce registre là).
Que dire de plus, la durée de vie était pas mal (j’avais du mettre une vingtaine d’heure mais je pense qu’il faut compter plutôt 10-15h).
Pas mal de moments sont relativement difficile lié justement avec l’apport de la 3D isométrique, avec tous les moments où il faut faire des sauts en changeant de direction où encore le mémorable labyrinthe verts où l’on pouvait passer des heures bloqués juste parce qu’il fallait bien regarder et surtout, voir les escaliers cachés par justement cette 3D que personne n’avait vu précédemment.
Bref, un jeu à découvrir, redécouvrir et qui ne vieillit pas mal pour un geek comme moi.
Avec en prime, une petite vidéo, je vous gâte :
Retour sur un article de Novembre 2011 : Red Dead Redemption
Ou comment vivre au Far-West !
Le studio concepteur du jeu, Rockstar Games, nous avait habitué à des jeux « libres », depuis le premier GTA (donnant même son nom au genre, les GTA-like) mais, avec Red Dead Redemption, on sort la grosse artillerie tellement l’immersion est profonde.
Commençons par l’histoire : vous incarnez John Marston, un ancien desperado qui, des années après s’être rangé, doit retrouver les anciens membres de son gang pour les arrêter.
Une histoire très simple qui n’a rien à envier à beaucoup de western. Mais, là où ce jeu fait fort, c’est dans la retranscription d’un far West imaginaire du début du XXe siècle.
Ainsi, le joueur évoluera dans une carte d’une immense étendue qui passera par un désert non sans rappeler le Texas du cinéma, des faubourgs mexicains au bord d’un Rio Grande et bien sur, les vastes plaines du nord.
L’ambiance est tellement travaillée qu’on aura souvent envie de s’arrêter sur le bord d’une falaise pour admirer le coucher de soleil sur la plaine, ou bien encore, l’interaction entre coyotes et lapins, etc.
Vous l’aurez compris, des graphismes exceptionnels (il suffit de voir les balades en cheval pour admirer chacun des muscles de votre monture se comporter de façon différentes entre la marche, le trot et le galop) mais ce n’est pas le seul plus du soft.
En effet, comme on est maintenant habitué dans les derniers GTA, la carte vit par elle-même, et, elle est parcementée d’événements ponctuels.
Ainsi, il n’est pas rare d’assister à des fusillades comme dans les grands westerns, de se faire attaquer en rase campagne par un puma, un loup ou encore un ours.
Quand à la musique du jeu, elle est tout simplement bluffante, omniprésente, elle passe pourtant les ¾ du temps totalement inaperçu tant elle semble faire partie de l’ambiance crée par l’étendue sans fin de la carte.
Le jeu s’articule autour de diverses missions qu’on peu régulièrement faire dans n’importe quel sens et comporte en sus, une multitude de quêtes annexes et de mini jeu qui renforce l’impression d’immersion (il est ainsi possible de faire des parties de poker endiablées, ou de partir à la chasse ou bien encore de se murger la g…e au saloon).
On regrettera quelques petites incohérence qui rendent le jeu un poil trop simple (la possibilité d’avoir toujours un cheval sous la main même en cas de décès du sien par exemple), mais il sera un excellent divertissement pour tous et surtout, le seul et unique jeu de western à la hauteur du genre.
Et en prime, une vidéo :